Le samedi 15 février prochain, CourirEnEstrie.com organise
un duathlon gratuit dans le cadre de la Fête des Neiges de Magog qui aura lieu
du 2 au 16 février prochain. Il est possible de s'inscrire dès maintenant sur
le site www.sportchrono.com. Le
nombre d'inscriptions est limité à 500.
« C'est une idée qui me trotte dans la tête depuis la
Fête des Neiges l'an passé, explique Patrick Mahony, directeur du circuit
CourirEnEstrie.com. Comme tous les événements de CourirEnEstrie, c'est une
activité familiale. Cependant, avec le duathlon, les parents et les enfants
pourront faire équipe et je trouve ça super intéressant. Il y a fort à parier
que les parents seront surpris par leurs enfants. »
L'événement se déroulera le samedi 15 février à la Pointe
Merry de Magog, à 9 h. Le duthalon consiste en 4 km de patin, 4 km de course et
2 km de patin pour compléter l'épreuve. Le duathlon peut se faire seul ou en
équipe de deux ou trois. La portion patin se déroulera sur le sentier glacé
longeant le la Memphrémagog. La course se déroulera entre la pointe Merry et la
Plage des Cantons.
« Les distances sont accessibles pour la grande
majorité des patineurs et des coureurs, soutient Mahony, mais les transitions vont aussi être pas mal
le fun. J'ai bien hâte de voir comment les jambes vont réagir en passant du
patin, à la course, au patin. Je crois qu'en tout et partout l'épreuve devrait
durer au maximum 1 heure. »
Lancé sur Facebook vendredi dernier, l'événement a déjà
attiré près d'une centaine d'inscriptions dont près de la moitié venant de
Montréal, la Rive-Sud, Drummondville et Trois-Rivières. « Encore une
fois, la preuve est faite que les événements sportifs sont une excellente façon
d'attirer des touristes dans notre
région, affirme Mahony, qui est aussi directeur du Marathon de Magog. C'est
certain que si le duathlon n'avait pas lieu, on n'aurait pas autant de gens de
l'extérieur qui viendraient à Magog lors de cette fin de semaine. En créant
l'événement, on les attire. Il y a là une dimension économique indéniable pour
la région. Ça aussi ça compte. Maintenant, il faut trouver une façon de les
retenir dans la région plus longtemps. »
Source :
Patrick Mahony