Le
14e Défi de la Gosford AXION se déroulera en fin de semaine, les 8 et 9 février, sur le territoire du mont Gosford
à Saint-Augustin-de-Woburn. Il s'agit d'une course d'attelage de chiens de
niveau provincial, sanctionnée par le Club d'attelage de chiens du Québec.
Le Défi de la Gosford AXION accueillera plus de 80 coureurs et
prévoit recevoir plus de 500 visiteurs. À l'horaire, randonnée guidée en
raquettes, atelier avec les agents de conservation de la faune et BBQ hivernal
sous la tente. De
plus, des jeux gonflables seront installés sur le site et une glissade a été
aménagée. Les courses de ski joëring sont reprises en 2014. Ainsi, une
quinzaine d'équipes devraient prendre le départ sur leurs skis de fond tirées
par un ou deux chiens de traineau.
Au niveau de la compétition, en offrant une bourse de
10 000 $, le Défi de la Gosford
AXION s'assure d'attirer grand nombre de coureurs :
« On attend bien sûr les meilleures équipes québécoises, mais aussi celles
des autres provinces canadiennes et même des États-Unis. Ainsi, l'événement
génère des retombées économiques importantes pour la région », affirme Bernard Saucier
président fondateur de l'événement.
Des changements ont été apportés à la disposition du
site afin de recevoir les nouvelles installations mises en place pour les
enfants et d'améliorer l'efficacité et l'esthétisme des lieux. « L'an
dernier, nous avons pu constater l'efficacité du réaménagement du site. Les
visiteurs ont apprécié l'espace supplémentaire à la ligne de départ/arrivée
permettant à tous de bien profiter du spectacle. Les jeux gonflables et la
glissade ont eu la cote auprès des familles. Les espaces de stationnements
supplémentaires ont également été appréciés. La piste, pour sa part, avait subi
des travaux particuliers lui permettant d'être praticable même avec un couvert
de neige peu abondant. Ces travaux d'entretien supplémentaires concernant la
piste, rendent l'événement moins fragile au manque de neige, phénomène qui a
fait mal à plusieurs courses de chiens au Québec l'an dernier et encore cette année »,
confie Bernard Saucier.
Source :
Marie-Claude Lacombe