Les citoyens et les citoyennes de
Sherbrooke qui souffrent de difficultés respiratoires vont pouvoir dormir ... et
respirer en paix grâce à la société française Groupe TERA et la Société de
transport de Sherbrooke. Établi en Estrie depuis deux ans, le Groupe TERA, en
collaboration avec la STS et l'Université de Sherbrooke, a lancé un projet pour
prendre des mesures contre les effets néfastes de la pollution dans l'air sur
la santé des individus.
Le projet
Afin d'évaluer la présence de
particules fines dans l'air, le Groupe TERA
a installé des capteurs OEM sur trois autobus de la STS. Les données de
ces capteurs ont été envoyées directement sur une plateforme virtuelle partagée
entre le groupe et les ingénieurs de la STS qui ont travaillé sur ce projet.
Les résultats ne sont pas encore
dévoilés. Aucune date n'a été précisée. Un groupe de chercheurs du CARTEL (Centre d'applications et de recherche
en télédétection) de l'Université de Sherbrooke analyse présentement les
données recueillies par les capteurs.
Le projet reprendra au printemps
2023.
Sherbrooke : une plaque tournante
Ce projet, qui peut pratiquement
sauver des vies, pourrait aller au-delà de la ville de Sherbrooke pour
s'installer ailleurs en Amérique du Nord.