À la suite de sa
présentation à l'émission «Dans l'œil du dragon» le 2 juin dernier, le
site immobilier gratuit Publimaison a fracassé un record d'achalandage.
Le site a été submergé par les internautes au point de céder sous le
poids du trafic généré par la populaire émission.
« Nous avions prévu un environnement informatique plus puissant pour
pallier l'achalandage qu'apporterait l'émission, mais nos serveurs n'ont pas supporté le trop grand nombre de connexions simultanées sur le site », explique Marie-Lyne Genest co-fondatrice du site. « Notre équipe de
programmeurs était prête à intervenir, nous avons donc pu gérer la
situation rapidement et efficacement », ajoute-t-elle.
Le
système est depuis rétabli et les serveurs de Publimaison ont été
configurés pour tolérer les quelques 6 millions de pages vues que
l'entreprise prévoit gérer au cours du prochain mois seulement.
Les
propriétaires de l'entreprise sont heureux de la tournure des
événements : « L'émission nous a donné une visibilité exceptionnelle et
le placement d'annonces a augmenté de 350% depuis la diffusion de
l'émission en soirée hier. Nous offrons maintenant aux acheteurs près de
31 500 propriétés à vendre et, à ce rythme, nous pensons dépasser les
32 000 d'ici quelques jours », conclut Marie-Lyne Genest.
Publimaison, No 2 au Québec
Avec
près de 31 500 propriétés en ligne, Publimaison figure désormais au
rang des sites offrant le plus de propriétés à vendre au Québec. Elle
hérite de la très enviable deuxième place, tout juste derrière RE/MAX
qui détient la première position avec quelques 36 000 inscriptions.
Reprenant
le modèle d'affaires de Kijiji, basé sur la gratuité, Publimaison s'est
donnée comme mission d'offrir à tous les vendeurs du Québec, un service
immobilier gratuit pour la vente de leur propriété.
Réel
guichet unique de l'immobilier, Publimaison présente toutes les offres,
qu'elles soient de particuliers, de courtiers ou de constructeurs
d'habitations neuves.
Depuis la création de l'entreprise en 2012, plus de 98 000 vendeurs ont affiché leur propriété sur le réseau.
Source et crédit photo : Eurêka Communication