(
08h
05) Je me souviens, dans la cour de l’école, quand on jouait au ballon prisonnier, comme on le disait à l’époque, je m’insurgeais quand un adversaire trichait sans se faire prendre et célébrais ensuite sa victoire.
(
05h
00) Une des tantes de mon père vivait en communauté. Religieuse. Cloîtrée, qui plus est. Je me souviens de ma surprise par rapport à l’explication qu’on m’avait donnée quant au mot cloîtrée.
(
07h
40) Le titre d’un album de 1977 de Paul Piché. La phrase À qui appartient l’beau temps? a été fredonnée des milliers de fois par vous et moi. Elle intervient dans Heureux d’un printemps, une des chansons de feux de camp les plus populaires.
(
07h
50) Mais pas un réconfort câlin. Plutôt un réconfort au sens de « on peut-tu juste rien changer de nos habitudes, vivre nos quotidiens sans se poser trop de questions, assumer la vitesse de la performance qui prend déjà pas mal de place, sans se casser la tête avec tout le reste? »
