(05h00)
Le François Legault aimé et admiré d’hier est devenu le mal-aimé et tout ce qu’il touche se transforme en catastrophe. C’est dans ce contexte qu’il a annoncé un remaniement ministériel d’importance et a décidé de proroger les travaux de l’Assemblée nationale afin de recommencer à neuf.
(05h00)
Le scandale de la SAAQ-Clic est devenu un point focal de l’actualité au Québec, mettant en lumière des problématiques systémiques bien plus profondes que la seule incompétence d’une institution.
(05h00)
Qui a dit que la littérature, ça ne sert à rien ? L’affaire de pelleteux de nuages inutiles, d’embouteilleurs de vide ambiant et d’idéalistes à la poursuite de chimères. Bien souvent, les sciences molles n’ont pas la cote auprès d’un grand public et des élites. On y préfère de loin les ingénieurs, les mathématiciens, les physiciens, les chimistes.
(05h00)
L’élection partielle dans le comté d’Arthabaska-l’Érable, marquée par la victoire du Parti québécois (PQ) et de son candidat Alex Boissonneault, constitue une lueur d’espoir pour ceux qui aspirent à une souveraineté pleine et entière du Québec.
(05h00)
Dans moins de trois mois, nous serons appelés à élire des femmes et des hommes pour nous représenter et former le prochain conseil municipal de la ville de Sherbrooke. La campagne électorale commencera sous peu.
(05h00)
Dans mes textes précédents sur l’avenir de Sherbrooke, j’ai rappelé et tenté de faire la démonstration que Sherbrooke avait du mal à se donner une histoire commune, un récit partagé. J’ai pointé vers sa composition ethnoculturelle comme tentative d’explication de cet état de fait.
(05h00)
Que représente pour vous la ville de Sherbrooke ? Une belle petite ville de province ? Une ville où la qualité de vie prédomine ? Une ville à la campagne ? Une ville du savoir ?
(05h00)
Comme je l’avais fait en 2017, j’entends consacrer mes quatre prochaines chroniques à l’avenir de Sherbrooke. J’essaierai dans ces chroniques de poser les enjeux de la prochaine campagne électorale à Sherbrooke du point de vue d’un Montréalais qui a adopté Sherbrooke comme sa ville il y a plus de 50 ans.
(11h30)
Nous venons à peine de franchir la date butoir du 1er juillet, moment où au Québec, les gens déménagent. Il est vrai que de nos jours, on déménage moins qu’à une autre époque, car le Québec vit une grave crise du logement. Cela ravive chaque année le débat sur la crise du logement.
(05h00)
La récente controverse sur Serge Fiori que le ministre de l’identité canadienne a qualifié de grands Canadiens, nous replonge dans nos vieux démons identitaires. Qui est un vrai Québécois comme on se le racontait dans nos histoires des années 1980.
(05h00)
Le G7 vient de terminer sa rencontre à Kananaskis en Alberta. Donald Trump a encore fait des siennes et il a quitté précipitamment la rencontre pour aller bombarder l’Iran.
(07h50)
Hier, nous avons célébré la fête nationale du Québec. Le Québec, cet éternel pays en devenir, assis entre les deux chaises d’une identité aux multiples visages. Nous célébrerons aussi le Canada dans quelques jours.
(05h00)
Il y a quelque chose de malaisant à vivre dans une société où les projets d’infrastructures deviennent des enjeux électoraux. C’est encore plus gênant lorsqu’un dossier d’infrastructure devient un bêtisier humoristique politique qui rappelle avec gravité que les débats politiques au Québec s’attachent à l’accessoire, refusant de discuter des choses essentielles.
(05h00)
Que l’on me permette ce matin de trahir le sens d’une phrase culte de Jean-Paul Sartre, l’ami-adversaire de mon auteur fétiche Albert Camus, pour aborder avec vous le sujet de l’immigration au Québec. À l’origine, cette tirade de Sartre est tirée d’une réplique de la pièce de théâtre Huis Clos.
(05h00)
Vraiment, il faut se rendre à l’évidence. Trump s’infiltre partout dans nos vies. Dans nos campagnes électorales et dans nos vieilles discussions concernant la monarchie. Nous sommes constamment en réaction à Donald Trump et cela teinte tous nos débats. Cela a été le cas lors de la dernière visite du roi Charles 1er dans son royaume canadien.
(05h00)
Ce n’est pas la première fois que je prends la plume pour défendre les médias. J’ai jadis été à l’origine d’un mouvement en Estrie pour défendre Radio-Canada. Je me suis insurgé contre les compressions dans les salles de rédaction de Télévision Quatre-Saisons et chaque fois, je dis qu’il faut préserver la diversité et la pluralité des médias d’information.
(05h00)
La parole politique est un peu comme les valeurs boursières : au cœur de la crise des tarifs avec les États-Unis d’Amérique, elle est en baisse de valeur. Cela est d’autant plus vrai à l’issue de la dernière campagne électorale fédérale. Les libéraux de Mark Carney ont mené une campagne peinarde qui voguait allègrement sur la peur de Trump.
(05h00)
Deux chroniques qui commentent l’actualité du Vatican en moins d’un mois, les personnes qui me connaissent se demanderont ce qui se passe subitement avec moi. Suis-je subitement devenu un catholique pratiquant ? N’ayez crainte, j’observe ce phénomène comme un fait de société et qui mérite notre attention puisqu’il envahit notre actualité.
(09h10)
Les dernières élections canadiennes remportées par le libéral Mark Carney ont révélé un Canada de plus en plus divisé entre l’Ouest et le Canada central ainsi qu’une polarisation croissante des opinions. En d’autres mots, le Canada est en proie à une grave crise démocratique.
(05h00)
L’annonce du décès du pape François a pris beaucoup de place dans nos médias. Ma première réaction est de me dire que nos médias accordent trop de place dans nos vies.
(05h00)
Incroyable parcours du Canadien de Montréal dans la dernière saison régulière de la Ligue nationale de hockey (NHL). Une équipe résiliente, improbable qui contre toute attente a réussi à se tailler la toute dernière place dans les séries à son dernier match de la saison. On ne peut être insensible au formidable parcours de l’équipe de Martin St-Louis durant cette dernière année.
(05h00)
La campagne électorale canadienne bat sa coulpe. Tout semble immobile. Mark Carney, le chef libéral parle toujours mal la langue française et peine parfois à bien se faire comprendre. Il projette l’image de l’adulte dans la pièce et sa prestance de banquier gestionnaire de crise rassure la population canadienne. Les sondeurs le placent tout au haut de la liste des préférences de l’électorat.
(05h00)
La deuxième semaine de la campagne électorale fédérale aura été une fois de plus éclipsée par Donald Trump. Ce diable d’homme bouffe tout l’oxygène médiatique. L’annonce de sa politique tarifaire aura permis au chef du Parti libéral du Canada, Mark Carney, de revêtir ses habits de premier ministre et de briller davantage que lorsqu’il fait campagne.
(05h00)
Enfin. Nous élirons, le 28 avril prochain, un nouveau gouvernement canadien. Depuis le temps que tout ce qui gribouille, scribouille et magouille en parlait. Il était plus que temps que l’on règle cette question pour se concentrer sur ce qui est important, soit la détérioration à vitesse grand V de nos relations avec notre voisin du sud.
(05h00)
Nous sommes en élection. Dans quelques semaines, le Canada se donnera un nouveau gouvernement. Cela ne fait que commencer, j’aurai amplement l’occasion d’y revenir. Cette semaine, je veux attirer votre attention sur la situation politique au Québec.
(05h00)
C’est l’éléphant dans la pièce. Notre voisin du Sud remet en question la frontière entre nos pays respectifs. Entre le discours actuel de la Maison-Blanche sur nos frontières et celui de Poutine sur l’Ukraine à la veille de son invasion, il y a des ressemblances. Cela n’augure rien de bon pour l’avenir. La frontière est un sujet important dans la vie d’un pays.
(05h00)
Je suis présentement aux États-Unis. Comme chaque année, je vis paisiblement sous le soleil de la Floride mon séjour annuel chez mon voisin du sud. Cette année, c’est un peu différent.
(05h00)
La semaine dernière, j’ai vu les débats, en anglais et en français, des candidats au leadership du Parti libéral du Canada. Dire que cela m’a passionné serait trahir la réalité. Ces débats ont été ennuyeux et ternes. On ne peut pas inventer un somnifère plus puissant.
(08h45)
Jeudi soir dernier, j’étais assis devant mon téléviseur pour voir le match de finale de la Confrontation des quatre nations qui opposait l’équipe canadienne à l’équipe américaine. Je n’ai pas été déçu. Quel match de hockey !
(05h00)
Si on essayait un instant d’oublier un peu le spectacle du clown américain pour se rappeler qu’il y aura des élections municipales à Sherbrooke en novembre prochain. La lutte semble bien engagée.
(05h00)
Donald Trump occupe tout l’espace média. Aux États-Unis, au Canada et ailleurs dans le monde. Nous pensons qu’il noie le monde de ses élucubrations. Je suis d’avis que Trump n’est pas un météore libre qui fait n’importe quoi. C’est un homme politique volontaire décidé à agir pour imposer au monde sa vision et ses politiques.
(05h00)
Donald Trump fait des siennes. Sans surprise, il capte toute l’attention des médias, ici comme aux États-Unis. Ce qui crée l’anxiété, ce sont nos relations commerciales avec notre voisin du sud. Quoi de plus normal.
(05h00)
Ainsi, la confirmation de la candidature de Denis Coderre à la course au leadership du Parti libéral du Québec branle dans le manche. En date de samedi dernier, cette procédure qui est plutôt technique n’était pas encore achevée dans le cas du candidat Coderre.
(05h00)
Depuis la visite de Justin Trudeau à Mar-a-Lago pour rencontrer le président élu Donald Trump, il ne se passe pas un jour où au Québec et au Canada l’on s’inquiète de la volonté de Donald Trump d’imposer des tarifs de 25 %
(05h00)
On ne peut prendre une longue pause de l’actualité aujourd’hui. À Paris, place de la République, on danse sur le cadavre d’une figure controversée de la politique française, Jean-Marie Le Pen. Aux États-Unis, le président désigné Donald Trump et son complice Musk n’ont de cesse d’insulter le Canada, son premier ministre et nous les Canadiens.
(05h00)
Le lendemain du jour de l’An, sous un ciel azur et un soleil éclatant, le groupe de snowbirds québécois se rassemblait sur le site du lieu-dit de la balançoire dans un complexe de condos à une dizaine de kilomètres de Mar-a-Lago, la demeure du vieux président et du président élu des États-Unis Donald Trump.
(05h00)
Aujourd’hui, c’est Noël. Un Noël marqué cette année par des guerres, en Ukraine et au Moyen-Orient, des menaces de guerre commerciales avec notre voisin américain
(05h00)
Pendant que nous nous inquiétons ici des pitreries de Donald Trump, des arabesques de Justin et des coups de gueule de Poilievre, la France traverse de pénibles moments tant politiques qu’économiques. Il fait un sale temps chez nos cousins français. Incursion dans l’univers politique français.
(05h00)
Vendredi soir 29 novembre, tous les regards des journalistes sont braqués sur l’itinéraire de l’avion du premier ministre canadien Justin Trudeau.
(09h10)
Au lendemain de la séance de l’Assemblée nationale où tous les partis se sont ligués pour faire le procès des propos du député de Québec solidaire de Maurice-Richard à l’Assemblée nationale du Québec, Haroun Bouazzi, le chef du Parti québécois, s’est fait analyste de la chose po
(08h05)
Incroyable, mais vrai. Québec solidaire vit une nouvelle crise. Cette fois, ce n’est pas l’ex-députée-comédienne Catherine Dorion qui a tiré les ficelles.
(10h00)
Ressentez-vous comme moi un malaise devant le discours actuel sur les femmes et les hommes ? La campagne électorale américaine à la présidence nous a donné droit à toutes les outrances envers les femmes de la part de Trump et de ses ouailles.
(05h00)
Les experts ont été confondus une fois de plus. La dernière course à la présidence aux États-Unis a été marquée par une rhétorique d’une rare violence et du « Eux et Nous ».
(05h00)
Pour ou contre les partis politiques sur la scène municipale. Cette question semble diviser nos politiciennes et nos politiciens locaux, mais laisse totalement indifférente la population qui vote.
(05h00)
À quelques jours du scrutin américain pour se choisir un nouveau président, le temps est bien choisi pour chercher à comprendre ce qui fonde le malaise profond que nous retrouvons dans la démocratie américaine.
(05h00)
C’est fascinant de voir le traitement que font nos médias dans la campagne électorale présidentielle américaine. Si nous étions des extraterrestres découvrant le Canada en écoutant ces derniers, nous pourrions jurer que Trump, Biden et Harris sont des personnages politiques canadiens
(05h00)
La récente décision du conseil municipal de Sherbrooke dans le dossier de la bibliothèque dans l’Est a fait la démonstration que ce dernier est de plus en plus divisé selon des lignes partisanes opposant Sherbrooke citoyen aux conseillères et aux conseillers indépendants
(09h00)
Au-delà de toute partisanerie, les Québécoises et les Québécois aiment bien être représentés par des femmes et des hommes d’État. Boulimique à la politique, j’ai eu le privilège de collaborer et de connaître de près de nombreuses femmes et hommes politiques de tous les niveaux.
(05h00)
L’actualité politique nous a habitués ces dernières années à tous les excès. Le débat surréaliste en ce moment sur l’implantation d’une usine de Northvolt à Saint-Basile-le-Grand en est une illustration convaincante.
Daniel Nadeau
Communicateur aguerri, spécialisé en gestion d'enjeux et de crise, les relations publiques et les théories de communication n'ont aucun secret pour moi.
Lecteur boulimique, historien de formation, je scrute pour vous l'actualité et tente de vous faire voir des aspects inédits des événements qui scandent notre vie démocratique. Cherchant à joindre les études spécialisées sur les sujets abordés, j’essaie d’être un regard original que porte Estrie Plus.com à l'actualité, en favorisant la réflexion et la compréhension des enjeux complexes qui ponctuent nos existences.